vendredi 15 avril 2016

Alpes-de-Haute-Provence : un VTTiste chute de cinq mètres

Aux environs de 20h un groupe de six personnes à VTT parcourt le lieu-dit du Fournas sur la commune de Château-Arnoux-Saint-Auban, quand l’un d’entre eux fait une chute de cinq mètres dans un ravin.
L’endroit est inaccessible et le sauvetage de l’homme de 51 ans exige l’intervention de plusieurs brigades de pompiers - Château-Arnoux-Saint-Auban, Sisteron, Dignes-les-Bains. Un équipier du pelotons de gendarmerie de haute montagne (PGHM) est présent ainsi que trois équipiers du groupe secours montagne sapeurs-pompiers (GSMSP).
L’intervention nécessite l’assistance d’un hélicoptère qui transporte la victime jusqu’au centre hospitalier de la Timone à Marseille. Blessé gravement, le quinquagénaire pourrait être paraplégique.

 http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/alpes-de-haute-provence/alpes-de-haute-provence-un-vttiste-chute-de-cinq-metres-975710.html

Grenoble : brûlé en tentant d'éteindre son canapé en feu

Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 avril, à Grenoble, un homme s'est sérieusement brûlé en voulant éteindre un début d'incendie dans son appartement
Vers 2H du matin, les pompiers ont été appelés pour intervenir au 37 du boulevard Maréchal Foch à Grenoble. Ils n'ont pas eu à éteindre d'incendie mais à secourir celui qui s'en était chargé. En effet, probablement à cause d'une cigarette, le canapé de l'appartement s'est enflammé. Son occupant a réussi à maîtriser seul ce début d'incendie mais il s'est brûlé aux poignets et au mollet.

Il a été transporté au CHU de Grenoble.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/grenoble-brule-en-tentant-d-eteindre-son-canape-en-feu-975740.html

jeudi 7 avril 2016

Femme retrouvée ligotée près de Toulouse : aucune hypothèse privilégiée

Disparue depuis 24 heures, une jeune femme de 21 ans avait été retrouvée mardi ligotée et bâillonnée dans un bois
Le mystère persiste autour de la disparition d'une jeune femme de 21 ans, retrouvée le lendemain ligotée et bâillonnée dans un bois à Fenouillet, près de Toulouse.
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La victime, localisée après avoir réussi à joindre les forces de l'ordre avec son téléphone portable, n'aurait pas subi de sévices physiques, selon La Dépêche du Midi.

En état de choc

Une enquête a été ouverte  pour enlèvement et séquestration sans libération volontaire. Mercredi soir, aucune piste n'était privilégiée. Agression fortuite ? Règlement de comptes ? 
La jeune femme connaissait-elle son agresseur ? En état de choc, la jeune est hospitalisée. On ignore si elle a pu livrer des indices importants mercredi soir, alors que les enquêteurs devaient l'entendre depuis sa chambre du CHU de Toulouse
http://www.sudouest.fr/2016/04/07/femme-retrouvee-ligotee-pres-de-toulouse-aucune-hypothese-privilegiee-2324030-5377.php

Compiègne : 34 voitures incendiées dans des ateliers municipaux, des vigiles agressés

Les incidents se sont déroulés dans la nuit de mercredi à jeudi à Compiègne, dans l'Oise. En tout, 34 voitures ont été incendiées dans des ateliers municipaux et plusieurs vigiles ont été agressés.
Trente-quatre voitures garées dans des ateliers municipaux ont été incendiées volontairement dans la nuit de mercredi à jeudi à Compiègne, dans l'Oise, a-t-on appris de sources concordantes.
"Trente-quatre voitures appartenant à la municipalité ont été complètement détruites par les flammes et les pompiers ont évité que le feu se propage à 18 autres véhicules", ont rapporté les secours précisant qu'ils sont intervenus mercredi aux alentours de 23h.
Un incendie criminel
L'origine de l'incendie "est incontestablement criminelle", a affirmé le parquet de Compiègne. L'enquête a été confiée à la Police Judiciaire de Lille, qui dispose d'une antenne à Creil. Au cours de la même nuit, des agents de sécurité privée mandatés par l'OPAC (Office public d'aménagement et de construction), "mobilisés depuis plusieurs jours contre la délinquance et notamment le trafic de drogue" dans le quartier du Clos des Roses à Compiègne ont été "attaqués", a rapporté le parquet.
La question "est maintenant de savoir s'il y a un lien entre ces deux événements", a dit le ministère public. Le préfet de l'Oise, Didier Martin, a exprimé dans un communiqué "sa plus vive consternation" après ces incidents

Montpellier : série froide judiciaire pour l’ex-addict au tapis vert

A l'issue d'une permission, il n'avait pas réintégré sa cellule en 2015 et s'était livré à de nouvelles escroqueries.
Sur ce point au moins, magistrats du siège, représentant du parquet et avocate de la défense tombent d'accord. Le jeune quinquagénaire, debout dans le box de la correctionnelle, est une personnalité à tout le moins atypique. Un homme né avec une cuillère en or dans la bouche, fils d'une lignée de notables. Mais que la mort de ses parents (un meurtre suivi d'un suicide) et l'héritage en découlant vont alors transformer.
Lorsqu'à peine majeur, il va rapidement devenir addict aux jeux. Et enchaîner les soirées autour des tapis vert. Se lançant dans un singulier compagnonnage des casinos jusqu'à s'asseoir aux tables monégasques. Alternant ces mises à fonds perdus avec divers emplois, notamment dans la publicité. Un secteur où il finira par être promu directeur d'agence, puis créant la sienne. Las. Son appétence finira par lui faire dilapider des centaines de milliers d'euros. Une succession de séries froides (*) qui vont le faire devenir délinquant notoire via des escroqueries diverses. En attestent la plupart des seize condamnations noircissant son casier.

Seize condamnations au casier

Et qui se retrouve une nouvelle fois en délicate posture pour ne pas avoir réintégré sa cellule de la maison d'arrêt de Villeneuve-sur-Lot le 24 février 2015, à la faveur d'une permission de sortie. Finalement mise à profit pour revenir à La Grande-Motte et se lancer dans une énième série d'indélicatesses. En se faisant ouvrir des lignes de crédits auprès de divers organismes et banques via une fausse carte nationale d'identité.
"Si certains s'adonnent aux psychotropes, moi, je comble le vide de mon existence en jouant"
Et de lancer, avec une verve toute particulière : "Je me présente devant vous sans jamais avoir fait de mal à qui que ce soit." Disant avoir, depuis, "pris de la hauteur", avoir "déçu ma famille, mes amis" mais aussi "perdu la femme que j'aimais". Flirtant avec le pathos tout en se défendant d'en rajouter.
"À vous écouter, vous êtes victime de tout !", rétorque le président Tastevin. Et le magistrat d'embrayer : "Je veux bien que vous ayez beaucoup évolué mais, dans les faits, on est toujours en 1993 (date de ses premiers ennuis judiciaires, NDLR)." Et le quinqua, pas déstabilisé, de soutenir mordicus : "Si certains s'adonnent aux psychotropes, moi, je comble le vide de mon existence en jouant. J'ai des perspectives d'avenir, croyez-le ! J'ai besoin que l'on me fasse confiance."
L'expertise livrée par le psychiatre l'ayant examiné ? "Il ne se prononce pas ! C'est évident que vous n'aurez plus affaire à moi !"
- "Moi je veux bien. Mais vous avez été escroc pendant vingt ans. Et j'ai un rapport qui dit que ce n'est pas acquis."
- "Je l'ai payé cher, je veux passer à autre chose."


http://www.midilibre.fr/2016/04/06/serie-froide-j-udiciaire-pour-l-ex-addict-au-tapis-vert,1312610.php

mercredi 6 avril 2016

Pays basque : quatre ans de prison ferme après l'accident mortel d'un cyclomotoriste

Ivre, le conducteur d'un fourgon avait mortellement fauché un cyclomotoriste le 27 juillet dernier sur le pont Charles-de-Gaulle à Saint-Jean-de-Luz. 
Le tribunal correctionnel de Bayonne est allé, ce mardi après-midi, au-delà des réquisitions du Parquet de Bayonne, qui avait demandé 4 ans de prison, dont un avec sursis, pour homicide involontaire à l'encontre d'Henri-Joël Jousselin. Agé de 67 ans, cet automobiliste avait fauché un scooter qui circulait sur le pont Charles-de-Gaulle dans la soirée du 27 juillet dernier à Saint-Jean-de-Luz.
Le conducteur ne s'était pas arrêté et avait 2,26 g/l d'alcool dans le sang lors de son interpellation. Le corps de sa victime, Jean-Pierre Marinea, un habitant d'Urrugne âgé de 52 ans qui rentrait en scooter de son travail, avait été retrouvé 6 mètres en contre-bas du  très violent impact.

Permis de conduire annulé

L'absence de remords et d'explication du prévenu à la barre explique sans doute la sévérité du tribunal pour cette vie volée: cinq ans de prison, dont un avec sursis et mise à l'épreuve pendant 3 ans, avec obligation de soins et d'indemnisation des victimes, soit l'épouse et les deux filles du cyclomotoriste décédé.
Le permis de conduire du sexagénaire a également été annulé et il ne pourra le repasser que dans 10 ans tandis que son fourgon a été confisqué. Les intérêts civils feront l'objet d'une autre audience le 28 juin. 
http://www.sudouest.fr/2016/04/05/pays-basque-quatre-ans-de-prison-ferme-pour-homicide-involontaire-2322117-4383.php

Besançon : un kilo de cannabis dans le sac de deux Allemands

Alors qu’ils avaient fait halte sur l’aire de repos dite du Charme, à hauteur de la sortie Clerval et L’Isle-sur-le-Doubs, sur l’autoroute A 36, deux Allemands ont été contrôlés par les douanes. Il était alors 15 heures lundi après-midi, les douaniers ont repéré un sac au logo MacDo sur le siège arrière de la voiture. Ils y ont trouvé à l’intérieur un kilo de cannabis.
Âgés de 26 ans, les deux ressortissants allemands ont été placés en garde à vue. Ils ont été présentés au parquet hier après-midi. Ils seront jugés aujourd’hui en procédure de comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Besançon
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/04/06/besancon-un-kilo-de-cannabis-dans-le-sac-de-deux-allemands

mardi 5 avril 2016

Le Havre: déminage sur une plage

Une bombe anglaise de la Seconde guerre mondiale a été neutralisée ce mardi sur la plage de Sainte-Adresse (banlieue du Havre, Seine-Maritime), une opération de déminage qui a nécessité l'évacuation de 1600 riverains, a-t-on constaté sur place. Fin février, un promeneur avait fait la découverte d'un engin suspect sous les galets de la plage de cette station balnéaire. Les plongeurs-démineurs de la Marine Nationale de Cherbourg ont rapidement identifié une bombe de 250 kg contenant une charge explosive de 150 kg. Un périmètre de sécurité avait été placé autour de l'engin et la plage interdite au public.

Peu après la mi-journée mardi, quelque 1600 personnes ont quitté le quartier. Une dizaine de personnes âgées malades ont été hébergées temporairement au centre hospitalier du Havre.
Du fait des vacances de printemps, les écoles étaient fermées. Le sous-préfet du Havre François Lobit, qui a supervisé l'opération de déminage, avait demandé aux riverains concernés de "fermer les volets et de laisser les fenêtres situées côté mer ouvertes".
Les plongeurs-démineurs ont fait exploser la fusée (la pointe) de la bombe vers 17 heures dans un gros sac de sable. Puis le reste de la bombe a été emmenée à 3 km du rivage, en pleine mer, pour y être détruite. En 2015, selon les services de déminage, 225 engins explosifs, d'un poids cumulé de 45 tonnes, ont été neutralisés en Manche et en Mer du Nord, essentiellement des bombes de la Seconde guerre mondiale.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php